Taiwan Today

Après une année de préparation, le ministère de la Justice a, la semaine dernière, inauguré un système expérimental de surveillance à distance des condamnés mis en liberté conditionnelle grâce à un bracelet radio-émetteur. C’est sur des criminels de droit commun condamnés dans des affaires d’agression sexuelle qu’il a été décidé de tester le système, et sept d’entre eux ont été sélectionnés parmi les 520 qui sont actuellement éligibles pour une libération sur parole. Le bracelet électronique, a expliqué Lee Chin-yung, le vice-ministre de la Justice, permettra de réduire les risques de récidive, en donnant les moyens à la police de surveiller efficacement les déplacements de ces individus et d’intervenir immédiatement s’ils quittent leur domicile entre 20h et 7h.